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Gabriel ! Vous allez peindre la passion ! Imaginez cet homme, Jésus, qui s'est levé contre l'envahisseur et ses zélateurs... Imaginez le sang et la sueur qui lui coulent dans les yeux, le poids sur son épaule... Il marche, mais une lumière l'habite. Grâce à elle, il reste debout malgré l'humiliation ! Croyez-vous que ça ne parle pas davantage à ces paysans que ces momies extatiques qui encombrent les églises ? La lumière n'est pas dans les ors d'une auréole ! Les peintres que vous admirez tant, ceux qui ont incarné notre seigneur et ses saints, allaient chercher leurs modèles dans les bouges, chez les putains qu'ils fréquentaient, chez les paysans déracinés, chez les voyous. Il faut soulever la peau des choses, vous comprenez ? "

Muchacho est une histoire de violences. Violence immorale de la répression qui brise l'âme et le corps, violence idéale de l'élan révolutionnaire vers l'improbable, l'impossible liberté, violence de l'homme neuf qui se défait de sa peau d'enfant, violence des sentiments, des désirs, de la passion. Mais, au bout du compte, rien n'est violence, tout est humain.

Qui regarde qui ? … Entre les statues de marbre et les tableaux de maîtres, les visiteurs du musée d’Orsay posent tantôt des yeux admiratifs, tantôt un regard perplexe sur les chefs-d’œuvre qui bordent les allées. Ils échangent dans un murmure discret et continuent leur déambulation. Mais lorsque les portes du musée d'Orsay ferment et que la nuit tombe, les sculptures et les peintures quittent la pose, descendent de leur socle, s'animent, se détendent, se mettent à se raconter, s’interrogent ou commentent ce qu'elles ont pu voir ou entendre au cours de la journée.

Un jeune homme découvre qu'il est le père d'une fillette de cinq ans le jour où l'amour de sa vie meurt et lui en confie la charge. Ces deux êtres fragiles vont alors se soutenir l'un l'autre en partageant le souvenir de la disparue. Malgré ce point de départ mélodramatique qui ne manquera pas de tirer quelques larmes aux âmes sensibles, le récit ne s'attarde jamais grossièrement sur le spectacle de la douleur, laissant la part belle à des scènes de vie quotidienne d'une grande tendresse, dans lesquelles Mizu Sahara montre comment l'affection (pour sa famille, ses enfants et ceux des autres...) tient une place bien plus centrale dans notre existence que la culture moderne nous laisse le croire. Parents, grands-parents, professeurs... Autour de la vie des enfants, le monde se structure et les liens se tissent. Une chaleureuse bienveillance plane sur le quotidien tout à tour grave et léger de Masume et Koharu.

Petit à petit, père et fille apprennent à se connaître et avancent en se soutenant mutuellement. Même si l'apprentissage de la vie n'est pas toujours fait que rires, les aléas du quotidien et les nouvelles rencontres permettent à Masamune et Koharu de former une vraie famille, épaulée par la présence spirituelle de Yôko. Mais arrivée à l'âge de raison, la petite fille poursuit sans trêve le fantôme de sa Petit à petit, père et fille apprennent à se connaître et avancent en se soutenant mutuellement. Même si l'apprentissage de la vie n'est pas toujours fait que rires, les aléas du quotidien et les nouvelles rencontres permettent à Masamune et Koharu de former une vraie famille, épaulée par la présence spirituelle de Yôko. Mais arrivée à l'âge de raison, la petite fille poursuit sans trêve le fantôme de sa mère.

Koharu est maintenant en deuxième année d'école primaire et a un rêve : aller au même collège que sa mère. Masamune, quant à lui, rêve de pouvoir exaucer son souhait. Entre le choix des cours privés, les entretiens et les révisions, le chemin vers l'accomplissement de leur rêve n'est pas de tout repos. malgré tout, c'est avec le sourire qu'ils avancent et resserrent ainsi le lien qui les unit.

Koharu a grandi, et si sa mère a toujours la premire place dans son coeur. elle prend conscience que Masamune devrait avoir le droit de rencontrer d'autres personnes, quitte à agrandir la famille qu'ils forment tous les deux Mais si Masamune sent qu'il lui faut aller de l'avant sera-t-il prêt à mettre de côté l'amour qu'il porte à Yôko ?

Koharu a grandi, et si sa mère a toujours la première place dans son coeur, elle prend conscience que Masamune devrait avoir le droit de rencontrer d’autres personnes, quitte à agrandir la famille qu’ils forment tous les deux. Mais si Masamune sent qu’il lui faut aller de l’avant, sera-t-il prêt à mettre de côté l’amour qu’il porte à Yôko ?

Considéré comme l'un des prodiges du modernisme catalan, Vidal Balaguer i Carbonell (Barcelone 1873 - ?) fréquente le cabaret bohème Els Quatre Gats aux côtés de son ami Joaquim Mir. Membre de la Colla del Safrà, un groupe d'artistes catalans, Balaguer est un homme controversé qui n'obtiendra jamais la reconnaissance qu'il mérite.

Le 18 décembre 1947, les six membres du commando constitué pour l'opération Extraction sont largués au sommet d'un des rares buildings qui subsistent encore à New York, la ville ayant été ravagée par le feu nucléaire et un virus expérimental. Ils sont chargés de récupérer de documents classés top secret dans le coffre-fort d'une banque.