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Le premier opus d'une nouvelle série, Les aventures du commissaire Holtan par Gilles Vincent auteur confirmé deux fois finaliste du Prix Landerneau. Dans son bureau du commissariat central de la rue O'Quin à Pau, le commissaire Jens Holtan peine à sortir de sa longue hibernation. Les affaires se suivent et se ressemblent, maussades et ennuyeuses comme les après-midi de pluie sur le Béarn. Ce qu'il ne peut deviner, c'est que dans moins d'une minute, le lieutenant Inès Nieves va surgir dans son bureau. Dans l'enveloppe qu'elle déposera, l'attend la photographie d'un corps inerte. Un notable du coin. Sans vie. Un corps allongé dans une posture étrange, à même le cuir fauve de son canapé de standing. Et s'il n'était que le premier de la liste... Sur la ville prête à sombrer dans la torpeur de l'été, un vent de panique s'apprête à tout balayer.

1916. Jeune pianiste originaire d’Hendaye, Augustin Larramendy est envoyé combattre à Verdun où, blessé lors d’une patrouille de nuit, il est miraculeusement sauvé par une mélodie de Beethoven. De retour dans son Pays basque natal, Augustin, amputé de l’avant-bras droit, va alors tenter de se reconstruire. À force de volonté et grâce à Fuego, un chien devenu son meilleur ami, il finira par y parvenir jusqu’au jour où son destin basculera une fois de plus dans l’horreuràEntre révolte et tendresse, espoir et désespoir, ce roman à cheval sur hier et aujourd’hui noue l’Histoire à la musique, la tragédie des mutilés à l’amour des animaux dans la magie d’un Pays basque aussi attachant que ses personnages.

Basé en Ardèche, dès qu’il le peut, Morgeon va se ressourcer dans sa maison de Passe-Renard, tout près des Arjevels où vit son amie éva.

Florette, une adolescente du village, s’est suicidée après un viol, en se jetant du haut d’un rocher, face au hameau de la Malmort. Son frère Bartélémy a juré de la vengerà

Pendant ce temps, au bord du fleuve, deux petites filles, Rose et Violette, rêvent d’une mamie. Leur père est un truand. Il adore ses filles et après un dernier casse, il voudrait les mettre en sécurité, loin de son « associé » et de Xéna, sa maîtresse, femme calculatrice et cruelleà

Morgeon qui voudrait bien retrouver la trace de Romain, le beau-fils disparu de sa douce éva, fait une étrange découverte. Le jeune homme avait un camarade d’enfance, qui se trouve être Barthélemy, que le commissaire interroge en vain...

Les Gardiennes, écrit en 1924, nous transporte dans ce monde rural où les femmes doivent se mobiliser, s’organiser, pour faire vivre les fermes en attendant le retour des hommes aspirés et décimés par les combats de la première guerre mondiale. Celui qui écrit « pour les haillonneux sans sabots et sans chemise affrontant la rude bise et couchant avec les bœufs », anime ici une galerie de femmes à la tâche : la grande Hortense, Francine, Léa, Solange deviennent ainsi les gardiennes chargées de préserver leur patrimoine en attendant la paix.

A la fin du xixe siècle, en Vivarais, Benjamin, orphelin de mère recueilli par sa tante quand il était enfant, voit les châtaigniers de leur propriété détruits par la maladie de l’encre. Poussé par la nécessité, il quitte son village pour retrouver son père naturel, Evariste, qui ne s’est jamais soucié de lui. Traité comme un valet par ce riche éleveur du Diois, le garçon est soutenu par le berger Zacharie, ardéchois comme lui. Une tendre amitié le lie aussi à la jolie Eléonore, filleule de la patronne. Cette fille étrange prédit le passage des deux derniers loups de la région. Les troupeaux sont attaqués et tout les accuse. Après avoir résolu l’énigme de ces massacres, comme Zacharie, son protecteur, Benjamin rêve de retourner en Ardèche, loin de ce père si peu aimant. Mais il y a Eléonore...

Les coteaux de Rosenoux Séverine Pichel a élevé Sylvain, son jeune frère, à la mort de leurs parents. Pour l'enfant, rien n'est plus beau que leur village isérois, cette terre qu'il veut exploiter plus tard. Mais ils sont pauvres et Séverine envisage un autre destin pour son frère, qui est doué... Elle suit à Lyon un artiste-peintre instable et peu fiable, malgré l'amour fort et authentique que lui voue Gilbert, le voisin près de qui elle a grandi... Le frère et la soeur retrouveront-ils cette terre tant aimée ? Sylvain pourra-t-il faire sa vie d'homme sur le sol de ses ancêtres ? Lui aussi connaîtra-t-il un amour compatible avec les exigences de son métier ? Les coteaux de Rosenoux, au coeur de leurs fermes apparemment si paisibles, enfouissent de farouches passions...

Une boutique au bord du dépôt de bilan, un mafieux russe qui lui met la pression pour en récupérer les murs, son histoire d’amour avec Martine qui bat de l’aile... Décidément, rien ne va plus pour Robert Duvot, l’ex-flic devenu libraire. Pour couronner le tout, il devient la cible d’une machination au goût de vengeance qui se déclenche à la réception de ces quelques mots sibyllins envoyés par la Poste : « Oyez, les impies, vengeance il exigea, rageusement. Nous sommes le 11 décembre, Monsieur Duvot. Que la fête commence ! ». Drôle de fête, en effet... Madame Da Rocha, ancienne gardienne d’immeuble et membre de son ciné-club est retrouvée morte dans sa librairie, horriblement assassinée à coups de batte de base-ball... Et ça ne fait que commencer. Le libraire a intérêt à enfiler son ancienne casquette d’enquêteur, et vite !

Si, après sa mort, le père de Jean Fonteneau avait pu revenir dans les Mauges pour voir son moulin... il ne l'aurait pas reconnu. À l'aube du XXe siècle, persuadé que la minoterie ne gagnerait plus son pain à l'avenir, Jean avait transformé Virelune, le vieux moulin du ru d'Argency, en auberge. Il avait épousé Mélanie qui mourut en donnant la vie à leur fi lle unique, Mariette. La petite fut confiée à une tante et ne revint aider son père que des années plus tard, lorsqu'elle fut une jeune femme. Vieillissant, le père Jean Fonteneau crut bon de s'adjoindre un valet, Michel Chupin, pour s'occuper des quelques terres de l'aubergiste et de la vigne. Chupin est un gars honnête et droit, il aime Henriette, mais elle va lui préférer le commis du percepteur, Gaston L'Herminier, un garçon de la ville qui a des allures de « monsieur ». Mais celui-là n'est peut-être pas si honorable qu'il y paraît. Du moins, c'est ce que pense Bénédicte, un coureux qui ne paie pas de mine et qui passe plus de temps à la braconne qu'à la messe, mais qui a la confiance du père Fonteneau. L'auteur : Pierre Billaud est né en 1875 à La Romagne. Il est mort en 1935. Il était de ces vrais conteurs du terroir, à la fois écrivain, poète et musicien. Le style de Pierre Billaud est simple et clair, comme les paysages de la Vendée angevine qu'il décrit. Quelle sobre précision dans le détail ! Il est sans doute celui qui a le mieux décrit les moeurs des gens des Mauges au début du XXe siècle, lorsque le machinisme agricole fi t son apparition dans nos campagnes.

En 1909, Louis Tréhen débarque à Paris pour y étudier la médecine. En 1919, lors de la Première Guerre mondiale, il est blessé et immobilisé à l'hôpital maritime de Berck-sur-Mer. Afin de se détacher de la douleur, il entreprend d'écrire et de lire à ses compagnons d'infortune le récit de ses plus belles années, dix ans auparavant, alors qu'il découvrait la vie parisienne.

Amnésique suite à un accident survenu pendant une tempête de neige, une jeune femme est recueillie par Vincent, qui vit avec sa fille de six ans. Cette dernière, Jade, lui annonce qu'elle a été prévenue de son arrivée par sa grande soeur, Ambre, décédée deux ans plus tôt. Premier roman.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Jean-Baptiste, 10 ans, habite avec sa mère, une femme célibataire, à Paris. Celle-ci travaille dans une bonneterie dirigée par Simon, un homme sévère mais profondément gentil. Lorsque Simon est emmené par la Gestapo, Jean-Baptiste et sa mère tentent de gagner la zone libre. Premier roman.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Hélène, agent de liaison pour la Résistance, s'éprend malgré elle d'Oskar, officier allemand. Mais Charles, un ancien amoureux, qui a fui le STO et est passé dans la clandestinité, est en danger...

En juin 1940, lors d'un transfert, Jérôme, prisonnier qui clame son innocence, parvient à s'évader de la prison de Poissy avec Jean-Paul. Jérôme, qui souhaite rejoindre sa femme près de Douarnenez, propose à ce dernier de l'accompagner avant de tenter un passage en Grande-Bretagne.

Deux frères orphelins, dont l'un est trisomique, vont se battre pour construire une maison en pierre et oublier le souvenir de la hutte au fond des bois qui les a vu naître.

En 1957, une femme se tue avec son amant. Elle laisse deux filles, dont l'une disparaît avec son mari, des années plus tard. La soeur fait alors appel à Varg Veum car le mythe des amants suicidés semble resurgir.

En 1761, Anne de Montfort a 17 ans et se retrouve orpheline. Elle est sans nouvelles de son frère aîné, parti aux Indes. Pour le retrouver, la jeune fille est prête à embarquer sur un navire à Saint-Malo.

A la fin du XIXe siècle, Aurélie renonce pour un temps à ses études suite à un revers de fortune de son père, garde forestier. Elle part travailler dans une filature, sans perdre l'espoir de réaliser son rêve : devenir institutrice.

Au décès de ses parents, Pierre reprend en main l'exploitation pour subvenir aux besoins de son frère, François, et de sa soeur, Marion. Quand il épouse Euphrasie, Marion ne se sent plus chez elle et décide de partir travailler à la Farelle, la ferme d'Alexandre, un jeune veuf. Elle le reconnaît comme l'auteur d'un meurtre dont elle fut le seul témoin étant enfant.

Clarisse avait une vie parfaite : un mari neurochirurgien, des jumeaux, une superbe maison dans un quartier chic de Lyon. Mais un jour, elle découvre que son mari est infidèle et tout bascule. Seule, sans véritable soutien, elle décide de partir pour Venise. Ce voyage sera pour elle une délivrance.